alex. // LBCC Founder


J’ai le sentiment que j’ai toujours fait du vélo. Je ne me souviens nullement du moment où j’ai en fait pour la première fois. Je ne me souviens pas plus de la dernière fois que j’en ai fait non plus. C’était probablement hier. J’ai l’impression d’être mal à l’aise quand je ne suis pas sur le vélo. Ou quand je m’en passe pour trop longtemps. Partout où je vais, j’imagine les sensations que j’y retrouverais si je faisais le parcours à vélo.

La majorité de mes plus beaux souvenirs, je les dois au vélo. Mes plus grandes amitiés, j’en ai fait les premières rencontres, à vélo. Et n’oublions pas de souligner les souffrances induites sur un vélo. J’en ai connu de ça aussi. Probablement beaucoup trop. Et des moments de grâce? Bien sûr, plusieurs aussi. Ce sentiment qui nous monte à la tête, nous fait avoir la foi, en soi, la confiance, c’est le vélo qui me le procure.

Le vélo est aussi refuge. Il cache et masque et met de côté. Le moment d’une sortie, d’un instant, il libère et chasse les mauvaises langues. Il aide à faire le point, à rétablir l’ordre, les priorités. Des certitudes me viennent aussi très souvent à vélo. Je comprends mieux les espaces, les événements, les êtres qui composent mon milieu, ma vie.

Des idées, belles et folles qui me passent par la tête? En vélo également. Moments de sérénité, de plénitude, le vélo m’offre, le temps du coup de pédale, la liberté d’esprit, le lâcher-prise nécessaire pour creuser un peu, déplacer le non essentiel et songer à l’idée. Et l’idée vient. Tout doucement. Lumineuse et séduisante. Au fait, l’idée était toujours là. Le vélo l’a révélé. Et maintenant, c’est l’idée qui me suit.

De quoi je parlais encore?

#levelocestlavie

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