René, c’est plus qu’un dinosaure. C’est l’incarnation de la renaissance. C’est le fait de renaître. C’est le fait d’être né à nouveau, d’être René.

C’est suite à une sieste régénérante dans un cimetière de l’Outaouais que la légende naquit. Un tatouage de diplodocus au bras, Henri s’endort paisiblement, aux côtés de Krystel, son acolyte de longue date. Le duo se réveille quelques minutes plus tard. Ils sont tous deux remplis d’une sensation de regain. Un vent de fraicheur les a gagnés. Les voilà prêts à reprendre la route. C’est alors que la comparse féminine du duo s’exclame : je suis «renée». La maladresse linguistique les fait rigoler, mais leur met aussi la puce à l’oreille; le diplodocus au bras d’Henri, pourquoi ne s’appellerait-il pas René? Le phénomène prend alors l’ampleur qu’on lui connaît aujourd’hui.

Dès lors, René devient un synonyme de second souffle, de rythme retrouvé. Après la pluie, le beau temps. Après les moments difficiles, la renaissance.

Merci René.